Pour être honnête, jusqu’à récemment, je ne comprenais rien à cet univers. Et aujourd’hui encore, il reste assez flou pour moi. J’y avance avec curiosité, mais aussi avec méfiance.
En explorant mes premiers portefeuilles, un détail m’a frappé de plein fouet : les fameuses “dusts”.
Ces petites fractions de crypto qui restent coincées, trop minimes pour être utilisées. Elles ne valent presque rien, individuellement. Elles dorment là, comme des centimes oubliés dans un tiroir.
Mais une idée m’a sauté aux yeux :
👉 Et si ces poussières numériques devenaient un geste concret ?
👉 Et si elles pouvaient être données directement à une ONG ?
Ce n’était pas un business plan. Ce n’était pas une stratégie de startup.
C’était une évidence intérieure. Un petit déclic.
Je me suis dit : “Il faut que je fasse quelque chose.”
C’est ainsi qu’est née DustEthic.
Une initiative simple, indépendante, encore en construction, mais avec une ambition claire :
-
Relier le Web3 à l’écologie et à la solidarité.
-
Transformer l’inutile en utile.
-
Montrer que, même dans un domaine aussi technique et spéculatif que la crypto, il existe une place pour l’humain et pour le bien commun.
Je le répète : DustEthic n’est pas une plateforme financière.
Je ne prends pas les fonds, je ne manipule pas les dons. Zéro custody.
Mon rôle, c’est seulement de faciliter le lien entre les détenteurs de crypto et les ONG.
🌍 Mon rêve ?
Que ces poussières numériques deviennent un jour un symbole de solidarité digitale.
Que des ONG, puissent financer des projets grâce à ce que le Web3 considère aujourd’hui comme des restes sans valeur.
Est-ce que c’est une idée trop naïve ? Peut-être.
Est-ce que c’est impossible ? Beaucoup me le disent.
Mais moi, je préfère avancer, petit pas par petit pas.
Parce que souvent, ce sont les projets jugés “fous” au départ qui ouvrent des chemins nouveaux.
✨ Et si les poussières de crypto devenaient demain des graines de solidarité ?